Versets Bibliques sur Adam

Je réponds de lui ; tu le redemanderas de ma main. Si je ne le ramène pas auprès de toi et si je ne le remets pas devant ta face, je serai pour toujours coupable envers toi.

Si un homme pèche contre un autre homme, Dieu le jugera ; mais s’il pèche contre l’Éternel, qui intercédera pour lui ? Et ils n’écoutèrent point la voix de leur père, car l’Éternel voulait les faire mourir.

Celui qui trouve une femme trouve le bonheur ; C’est une grâce qu’il obtient de l’Éternel.

Je réponds de lui ; tu le redemanderas de ma main. Si je ne le ramène pas auprès de toi et si je ne le remets pas devant ta face, je serai pour toujours coupable envers toi.

Le séjour des morts et l’abîme sont devant l’Éternel ; Combien plus les cœurs des fils de l’homme !

qui conserve son amour jusqu’à mille générations, qui pardonne l’iniquité, la rébellion et le péché, mais qui ne tient point le coupable pour innocent, et qui punit l’iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération !

Alors l’homme s’inclina et se prosterna devant l’Éternel,

Car il sait de quoi nous sommes formés, Il se souvient que nous sommes poussière.

Le séjour des morts et l’abîme sont devant l’Éternel ; Combien plus les cœurs des fils de l’homme !

qui conserve son amour jusqu’à mille générations, qui pardonne l’iniquité, la rébellion et le péché, mais qui ne tient point le coupable pour innocent, et qui punit l’iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération !

Aux pieds de Jaël il s’est affaissé, il est tombé, il s’est couché ; À ses pieds il s’est affaissé, il est tombé ; Là où il s’est affaissé, là il est tombé sans vie.

Nous avons péché comme nos pères, Nous avons commis l’iniquité, nous avons fait le mal.

Elle fleurit le matin, et elle passe, On la coupe le soir, et elle sèche.

Leur souffle s’en va, ils rentrent dans la terre, Et ce même jour leurs desseins périssent.

Montagnes et toutes les collines, Arbres fruitiers et tous les cèdres,

L’Éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme.

les eaux qui descendent d’en haut s’arrêtèrent, et s’élevèrent en un monceau, à une très grande distance, près de la ville d’Adam, qui est à côté de Tsarthan ; et celles qui descendaient vers la mer de la plaine, la mer Salée, furent complètement coupées. Le peuple passa vis-à-vis de Jéricho.

Ils s’imaginent que leurs maisons seront éternelles, Que leurs demeures subsisteront d’âge en âge, Eux dont les noms sont honorés sur la terre.

C’est ainsi qu’il chassa Adam ; et il mit à l’orient du jardin d’Éden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l’arbre de vie.

Adam connut Ève, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit : J’ai formé un homme avec l’aide de l’Éternel.

En le frappant de la verge, Tu délivres son âme du séjour des morts.

Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ?

Car il sait de quoi nous sommes formés, Il se souvient que nous sommes poussière.

Tu seras maudit dans la ville, et tu seras maudit dans les champs.

Adam connut encore sa femme ; elle enfanta un fils, et l’appela du nom de Seth, car, dit-elle, Dieu m’a donné un autre fils à la place d’Abel, que Caïn a tué.

Il créa l’homme et la femme, il les bénit, et il les appela du nom d’homme, lorsqu’ils furent créés.

Puis l’Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé.

L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme  : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ;

Pour que tu recherches mon iniquité, Pour que tu t’enquières de mon péché,

Nous avons péché comme nos pères, Nous avons commis l’iniquité, nous avons fait le mal.

Les enfants des enfants sont la couronne des vieillards, Et les pères sont la gloire de leurs enfants.

Malheur à qui dit à son père : Pourquoi m’as-tu engendré ? Et à sa mère : Pourquoi m’as-tu enfanté ?

Montagnes et toutes les collines, Arbres fruitiers et tous les cèdres,

Malheur à qui dit à son père : Pourquoi m’as-tu engendré ? Et à sa mère : Pourquoi m’as-tu enfanté ?

Celui qui trouve une femme trouve le bonheur ; C’est une grâce qu’il obtient de l’Éternel.

Il n’y a personne qui invoque ton nom, Qui se réveille pour s’attacher à toi : Aussi nous as-tu caché ta face, Et nous laisses-tu périr par l’effet de nos crimes.

Interroge les temps anciens qui t’ont précédé, depuis le jour où Dieu créa l’homme sur la terre, et d’une extrémité du ciel à l’autre : y eut-il jamais si grand événement, et a-t-on jamais ouï chose semblable ?

Ne vous confiez pas dans la violence, Et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine ; Quand les richesses s’accroissent, N’y attachez pas votre cœur.

Mais celui qui commet un adultère avec une femme est dépourvu de sens, Celui qui veut se perdre agit de la sorte ;

Malheur à qui dit à son père : Pourquoi m’as-tu engendré ? Et à sa mère : Pourquoi m’as-tu enfanté ?